On vous dit tout sur la céphaloclastophilie
La céphaloclastophilie ou l’art de se creuser les méninges
La céphaloclastophilie est l’art de collecter les casse-têtes ! Les casse-têtes sont des jeux auxquels nous pouvons jouer seul ou à plusieurs. Souvent de tailles, formes et difficultés différentes, ils plaisent aux enfants comme aux adultes. Mais connaissez-vous l’origine des casse-têtes ?
Origine des casse-têtes
Un casse-tête consiste, à partir d’une situation donnée et aléatoire, à aboutir à un rendu demandé. Souvent, le casse-tête donne l’impression d’une situation inextricable et impossible.
Les plus vieux casse-têtes connus sont originaires de Grèce et du IIIe siècle. Le plus connu est le stomachion (voir photo) : il est composé de 14 parties qu’il faut assembler pour former différentes formes listées.
En 1550, le jeu du baguenaudier est très à la mode. Il serait, d’après Jérôme Cardan, originaire de la Chine du Nord. Puis en 1742, au Japon, certains écrits font référence au « Sei-gon Shona Chie no-Ita ». Toujours venant d’Asie, le puzzle Tangram était très populaire en Chine dans les années 1880. La pratique de ce dernier s’est vite répandue en Europe et en Amérique.
La société Richter, de Rudolstadt, a commencé à produire des jeux similaires au Tangram, les célèbres « pierres d’Anker ».
Mais c’est réellement dans les années 1890 que les casse-têtes se sont développés dans les pays occidentaux. C’est d’ailleurs à cette époque que les premiers brevets ont été déposés.
Pour les passionnés, n’hésitez pas à feuilleter l’ouvrage du professeur Hoffman « Casse-tête anciens et nouveaux » qui recensé près de 40 casse-têtes avec leurs descriptions mécaniques.
Avec l’invention du plastique, plusieurs nouveaux casse-têtes sont apparus dont le fameux Rubik’s Cube !
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